Peinture plate
Peinture plate - Presse
Titre(s) :
Peinture plate
Richard Leydier
Auteur(s) :
Notes :
Dossier de 3 articles.
In : Art Press (489 du 01/06/2021)
Sujet(s) :
Résumé :
Au 20e siècle apparaît une nouvelle manière de peindre, en aplat. Elle induit une autre façon de rendre les volumes, par des juxtapositions de tons et des ombrages. Ce style de peinture, s'il existe déjà dans les années 1930, se développe véritablement dans l'après-guerre et à l'époque du pop art, notamment avec l'utilisation croissante de la peinture acrylique et de la bombe aérosol. Il y a parfois des chaînons manquants dont la redécouverte permet de comprendre une évolution, objet de ce dossier. L'oeuvre d'Emanuel Proweller (1918-1981), s'il a été exposé, notamment en 2007 à la Villa Tamaris de la Seyne-sur-Mer (voir le catalogue publié aux éditions du Panama), compte d'ores et déjà parmi les " inclassables classiques ". On pourra voir ses tableaux du 5 juin au 31 octobre 2021 au musée Montebello de Trouville-sur-Mer, dans une exposition réalisée à partir des oeuvres reproduites dans le livre la "Couleur des saisons" d'Elisabeth Brami (Courtes et longues, 2018), fille de l'artiste, et aussi du 6 septembre au 9 octobre 2021 à la galerie Georges-Philippe et Nathalie Vallois, à Paris, qui le représente désormais. Si elle n'a pas toujours connaissance de son travail, on peut affirmer que Proweller a eu une descendance nombreuse, serait-elle purement formelle. C'est pourquoi, outre un article consacré à ce peintre, nous publions aussi une interview de Remed, qui officie d'ordinaire plutôt dans ce qu'on appelle le street art, territoire de prédilection aujourd'hui d'une " peinture plate ". Sommaire. Tout remettre aplat. Emanuel Proweller, il est encore temps. Remed, le jeu peut continuer.
Au 20e siècle apparaît une nouvelle manière de peindre, en aplat. Elle induit une autre façon de rendre les volumes, par des juxtapositions de tons et des ombrages. Ce style de peinture, s'il existe déjà dans les années 1930, se développe véritablement dans l'après-guerre et à l'époque du pop art, notamment avec l'utilisation croissante de la peinture acrylique et de la bombe aérosol. Il y a parfois des chaînons manquants dont la redécouverte permet de comprendre une évolution, objet de ce dossier. L'oeuvre d'Emanuel Proweller (1918-1981), s'il a été exposé, notamment en 2007 à la Villa Tamaris de la Seyne-sur-Mer (voir le catalogue publié aux éditions du Panama), compte d'ores et déjà parmi les " inclassables classiques ". On pourra voir ses tableaux du 5 juin au 31 octobre 2021 au musée Montebello de Trouville-sur-Mer, dans une exposition réalisée à partir des oeuvres reproduites dans le livre la "Couleur des saisons" d'Elisabeth Brami (Courtes et longues, 2018), fille de l'artiste, et aussi du 6 septembre au 9 octobre 2021 à la galerie Georges-Philippe et Nathalie Vallois, à Paris, qui le représente désormais. Si elle n'a pas toujours connaissance de son travail, on peut affirmer que Proweller a eu une descendance nombreuse, serait-elle purement formelle. C'est pourquoi, outre un article consacré à ce peintre, nous publions aussi une interview de Remed, qui officie d'ordinaire plutôt dans ce qu'on appelle le street art, territoire de prédilection aujourd'hui d'une " peinture plate ". Sommaire. Tout remettre aplat. Emanuel Proweller, il est encore temps. Remed, le jeu peut continuer.
Exemplaires
Titre | Support | Consultation | Bibliothèque | Secteur | Localisation | Cote | Disponibilité |
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Peinture plate | Presse | Prêt normal | Institut Supérieur des Beaux-Arts | Réserves | Réserve 2 | JUIN 2021 N°489 | En rayon |